Loi El Khomri VS loi de Patricia

Publié le par dubruly

Patricia rêve de revenu universel et de bonheur au travail.

Patricia rêve de revenu universel et de bonheur au travail.

Mais voilà tout ça n'existe que dans ses rêves ou dans les films de science fiction. Non seulement elle n'a pas de travail mais pas de revenu non plus. Et le système continue  de fonctionner sans elle. Seulement  il y a un " hic " pour ne pas dire un "bug " dans le  système.  Patricia doit travailler c'est indéniable !  Alors  elle commence à brancher son sabre laser sur la force.   La lutte sera dure. Les lasers s'affolent et sabrent dans tous les sens. Patricia n'a pas le choix elle doit gagner sa vie.

Gagner sa vie !

Je n'aime pas cette expression. Je le dis dans la contribution C6 de  mon livre c'est une abomination et contraire à l'article 1er de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen  qui stipule que : "Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune."

Il faut remettre les choses à leur place et changer de système.  Le problème du chômage ne sera jamais résolu si nous restons dans ce système. La loi El Khomri ne permettra pas à François Hollande d'espérer un nouveau mandat ni à Manuel Valls de lui prendre sa place en 2017 . C'est la bourse qui décide !

Notre président  n'a pas encore compris que ce n'est pas lui qui peut faire baisser " le taux " de chômage mais ceux qui définissent "les taux"  de la bourse. La gauche n'a pas compris que ce n'est pas à l'état de s'occuper de créer des emplois mais aux patrons de le faire. L'état doit gérer le code du travail des fonctionnaires mais pas celui des entreprises privées.

Cependant l'état doit s'occuper de tous les citoyens et les protéger. Il ne doit pas les livrer en pâture à l'économie de marché mondialisé détenu par la "jet-set" de la spéculation et du profit. Et c'est encore moins la gauche qui peut décemment faire ce coup là. Alors ce que préconise le gouvernement de Manuel Valls fourni le sabre laser qui va pulvériser la Gauche définitivement. De plus la solution pour obtenir le plein emploi dans ce système  n'est pas seulement française elle est aussi Européenne.

Les 35 heures de travail légales instaurées par la gauche humanisait enfin, un peu, le travail des femmes et des hommes. La souplesse déjà accordée aux entreprises autour de ces 35 heures notamment en usant des heures supplémentaires était déjà une dérive à cette humanisation. Le but étant de partager le travail. Il faut peut-être simplifier le code du travail certes mais toujours dans l'esprit du plein emploi et non plus dans l'esprit de compétitivité et de profit. Or notre système n'est pas adapté à cela. L'EU place le travail au niveau de la finance et non au niveau de l'économie. De plus les pays de l'EU sont tous différents de par leur culture et leur système social. Il est utopique de vouloir uniformiser, l'ensemble sans dommages collatéraux. Le système actuel nous a prouvé que les solutions envisagées pour régler les problèmes sont toujours les mêmes. Nous ne trouverons aucune nouvelle solution au problème du chômage, tant que nous n'aurons pas défini de nouvelles hypothèses de fonctionnement. Je le dis dans mon livre un problème de mathématique n'a qu'une seule solution. Mais bien souvent plusieurs démarches de résolution avec les mêmes hypothèses. Mais si les hypothèses changent alors la solution change ainsi que la logique pour l'obtenir. L'innovation consiste à choisir les bonnes hypothèses afin d'obtenir la meilleure conclusion possible. Le problème du chômage est un problème mathématique. Tant que nous n'aurons pas poser les axiomes, défini les hypothèses et lister les variables ainsi que les constantes nous ne pourrons pas choisir les  théorèmes qui permettront de trouver les inconnues. C'est ce qu'il se passe depuis des dizaines d'années voire depuis 1789. Si l'EU ne change pas de système alors les états ne pourront rien faire.

La loi El Khomri est encore une de ces lois qui ne fait que s'attaquer à la force vive du pays. Elle ne créera pas plus d'emplois mais fera travailler encore plus et plus longtemps ceux qui font déjà vivre le pays. Les français qui travaillent, travaillent trop et les salaires n'augmentent pas. C'est connu deux travailleurs sur dix "pètent les plombs" et si cela continue le "burn-out" sera bientôt une maladie qui va creuser encore plus le trou de la sécurité sociale. Alors que l'on sait qu'un travailleur qui est heureux au travail est plus productif, les patrons ne cessent de répéter : "les français ne travaillent pas assez nous ne sommes pas assez riches". C'est du délire !

*Le bonheur au travail, la première solution ! Tu ne rêves pas Patricia c'est possible!

De nombreux "managers" ont déjà compris qu'un travailleur stressé perd de sa productivité. Je le répète et certains sont du même avis il faut comprendre que l'être humain n'aspire qu'à une chose le bonheur. Le bonheur est une notion relative et chacun possède sa définition du bonheur. Seulement tout le monde doit travailler. Alors il faut que chacun trouve sa part de bonheur dans le travail. Je pense qu'il faut commencer "la pédagogie du bonheur " à l'école. Elle commence à voir le jour dans le monde du travail, l'espoir fait vivre. Il n'y a pas de mystère, un être humain quel que soit sa situation pense, parle et agit. Il a besoin de repères et de compréhensions. Il a besoin d'être valorisé et d'être encouragé. Il faut lui faire confiance dès le moment ou il montre sa motivation, et ses capacités. Mais il a aussi un besoin d'apprendre toujours plus, il faut donc lui facilité l' accès à la formation. Mais en même temps il a besoin d'être en sécurité et libéré de l'épée de damoclès qui le menace quotidiennement de ne plus pouvoir assurer ses besoins vitaux et ceux de sa famille. C'est cette nouvelle hypothèse qu'il faut envisager pour résorber le chômage et améliorer la compétitivité des entreprises. Le bonheur au travail doit figurer dans le code du travail ! 

*Le revenu universel, la deuxième solution ! Réveille toi Patricia c'est possible !

Mais quel changement ce serait ! N'est-ce pas Myriam vous qui avez reçu un rapport du "Conseil national du numérique" la dessus. Ne serait-pas le moment de créer ce " revenu universel " en France et pourquoi pas en Europe et pourquoi pas dans le monde entier. Déjà pensé et proposé par plusieurs politiques extérieures et même intérieures, ne serait-ce pas à la gauche d'en profiter pour y penser plus fort que les autres. Ce serait la réforme du XXI ème siècle. Plus de problème tels que nous les connaissons et auxquels on ne trouve pas de solution sans que ça retombe sur la classe laborieuse qui se débat toujours plus pour vivre mieux : chômage  retraite, rsa, rmi, minimum vieillesse, allocation familliale, sécurité sociale,  gaspillage, fraude en tout genre  etc ... Faites le bilan ! Le compte doit y être ! LOL

Alors plûtôt que "faire perdre notre temps" à rendre encore plus compliqué  le code du travail  qu'il ne l'est et dont la réforme proposée de toute façon est rejetéé par beaucoup, pourquoi ne pas demander à François Hollande de vous donner le feu vert,  Myriam, pour mettre en place un groupe de projet pour que le cauchemard des hommes devienne le rève de Patricia. Ma contribution C15, "bel" Manuel, pourquoi ne pas appliquer ?  Votre loi, "belle" Myriam, perdre mon temps, me fait. Vos beaux discours, "belle" Myriam, rêver ne me font pas.  

Impossible n'est pas " François" . Etudiez sérieusement la question ! Il vous reste encore un an Monsieur le président de la république pour vous démarquer et prouver que les socialistes savent réformer positivement.

Attention si  personne ne fait rien c'est Patricia qui va le faire ! Elle me l'a dit ! Et elle ne raconte pas d'histoire ce coup ci !  

Mais que faut-il faire Patricia ?

Je ne sais pas Thierry , heu ...  peut-être

Equilibrer la balance entre les riches et les pauvres actuels, ce serait bien. Mais pas en terme d'argent, en terme de poids. Actuellement, mis à part l'état en tant qu'employeur, notre système fonctionne globalement sur le principe que ce sont les patrons qui emploient et qui versent "généreusement" un salaire aux employés à condition qu'ils deviennent riches. En effet un patron pauvre n'embauche pas, ça se saurait ! Le problème est qu'il n'y a pas assez de patrons riches pour qu'ils puissent employer tout le monde sans perdre de leur richesse soi-disant. La richesse n'est pas une notion absolue elle dépend de la conjecture. Et principalement celle de la bourse dont les fondements sont ceux du pourcentage.  Il est certain, cette notion mathématique de pourcentage, seule appliquée dans notre système, ne fait que maintenir un déséquilibre toujours plus important entre le nombre de riches et le nombre de pauvres et impose qu'un riche sera toujours plus riche et un pauvre toujours plus pauvre compte tenu de l'augmentation du coût de la vie.  Cependant, à un moment donné le système explose et des situations de monopoles, émergent bloquant la  balance  parce qu'il n'y a pas de limites. De ce fait la balance penche du coté des pauvres et le "fléau" maintient sa position oblique irrémédiablement. Quand C7 sera effective alors C8 et C9 suivront et celui qui dirige le projet pourra user de sa pédagogie en C10. C11 et C12 lanceront le débat et la suite est dans la contribution C32 de mon livre ... 

 

Les lois sur la concurrence sont des lois mal réfléchie car elles incitent à la recherche du profit maximum pour obtenir le pouvoir : celui d'être encore plus riche. L'exemple en 2006 de la bataille concurrentielle entre Microsoft et Google à propos du moteur de recherche intégré au logiciel qui donnait à Bill Gates encore plus de pouvoir sur le monde informatique est typique. Les libéralistes se voient alors contraint d'imposer des limites au développement fulgurant de Microsoft. L'on reproche finalement à Bill Gates d'être trop innovant, trop compétitif, trop bon quoi ! C'est ce que j'appelle le paradoxe du système libéral. Si parmi les concurrents il y en a un qui sort du lot alors on le taxe de concurrent déloyal et on créer une loi ou on l'attaque en justice pour l'empêcher de prendre toute la place. Seulement dans ce cas là il était trop tard. D'ailleurs à l'époque Microsoft s'est vengé en limitant par exemple ses mises à jours de pilotes pour des périphériques branchés sur les pc utilisant son nouvel OS. C'était de bonne guerre seulement qui en ont supporté les conséquences ce sont les utilisateurs vous et moi.

Ceci prouve bien que le système libéral a ses limites. Le seul moyen de ne pas en arriver à des extrêmes c'est de fixer les limites de l'enrichissement dès le départ. Il faut juste se mettre d'accord pour définir à quel moment un riche est suffisamment riche et définir à quel moment un être humain est pauvre. Quand l'être humain dira je ne travaille pas pour gagner ma vie mais je travaille pour l'humanité et devenir riche alors ce sera le bonheur au travail pour tout le monde. Pour cela il faut faire l'hypothèse que tout être humain qui nait a gagné sa vie il faut donc lui donner de quoi la vivre avec dignité sans qu'il ai besoin de travailler. C'est un nouveau droit qu'il faut inscrire dans la déclaration des droits de  l'homme. Un être humain n'est pas un animal et si nous traitons un être humain comme un animal alors nous ne sommes pas des être humains. Quand nous enfermons un animal dans un zoo ou dans une cage ou même un cheval dans un boxe, nous avons le réflexe de subvenir à ses besoins. La terre est une cage dans l'univers. Un pays est une cage sur la terre.  Les nouvelles hypothèses changeront toute la philosophie de la vie et l'article des droits de l'homme qui dit que tous les hommes naissent égaux en droit sera effectif : celui de vivre décemment avec les mêmes chances aux départ.

La notion de travail changera alors et la notion de compétitivité deviendra une notion qui permettra à un être humain d' accéder à un bonheur supplémentaire le bonheur matériel et celui du bonheur  de s'épanouir autrement que dans le travail.

Coluche disait dans ses sketchs sur la publicité de la lessive : " ... plus blanc que blanc qu'est-ce c'est comme couleur ? "

Réfléchissons : plus riche que riche qu'est-ce que c'est comme statut ? Et à quoi cela sert-il ? Regardez ! Que fait Bill Gates ! Il donne une partie de sa fortune ! Alors où est le problème ? En fait il ne sait plus quoi en faire !

Il ne s'agit pas d'appauvrir les riches mais d'enrichir les pauvres. Il faut simplement  fixer une limite haute de la richesse au delà de laquelle tout revient dans un pot commun gérer par un nouvel organisme dépendant du conseil constitutionnel par exemple, pour assurer "un revenu universel" à tous les citoyens quel que soit sa situation. Si un riche dont les revenus sont pérennes ne peut devenir pauvre et si un pauvre peut devenir riche par son travail sans se préoccuper de sa subsistance alors ce sera le bonheur sur terre. De toute façon si un riche devient pauvre il lui restera le revenu universel. C'est à lui de rester riche par son travail. Ce n'est pas du communisme car la notion de capital subsiste c'est du capitalisme humanitaire et fraternel.

Le système d'impôt continue à la seule différence qu'un riche sera imposé en fonction de sa contribution à proposer du travail sur le marché de l'emploi tout en continuant de spéculer s'il le souhaite. Son intérêt est donc de continuer à s'enrichir jusqu'à la limite haute puisque son impôt sera d'autant plus faible que sa contribution à fournir du travail aux autres futurs riches sera importante. Si nous considérons l'entreprise comme un riche alors elle ne fonctionnera plus de la même façon  puisqu'elle n'aura plus à payer les employés pour qu'ils gagnent leur vie mais pour qu'ils contribuent à sa richesse tout en s'enrichissant eux mêmes. Le problème du chômage est résolu puisque celui qui ne veut pas ou ne peut pas travailler n'aura pas à subvenir à ses besoins vitaux : "métro, boulot, dodo ", ni à celui de sa famille. Celui qui ne veut pas travailler ne pourra accéder au bonheur matériel non indispensable il devra se contenter du minimum vital qu'on lui donne pour sa santé son logement sa nourriture. C'est son choix ! Celui qui veut travailler et qui trouve du travail pourra toucher un salaire avec lequel il pourra peut-être s'offrir un "jet " qui sait ?.

C'est toujours à l'état de fixer les  hypothèses et aux entreprises de trouver la solution du marché mondial pour que l'accès au travail même partiel, soit facilité. L'état fixe les limites. La durée maximale de travail quotidien, celle du travail hebdomadaire et celle du nombre d'heures annuel dans la même entreprise ! Le montant minimum des salaires et le montant maximum sans les primes selon les compétences et la capacité à contribuer à la production des richesses. L'état protège le citoyen de l'exploitation et de l'esclavage en contrepartie de sa contribution par l'imposition mais l'état ne fait pas d'ingérence dans l'entreprise privée. Il ne subventionne pas non plus une entreprise. Il définit aussi la limite maximum du profit en imposant l'entreprise et l' actionnaire en fonction de sa compétitivité et de son investissement pour créer plus de richesses. Quand je dis "fonction de" il s'agit d'analyser  chaque situation et non pas d'appliquer un pourcentage. Enfin à l'époque du numérique il faut cesser d'être binaire envers l'humain. Fixer des limites ne se borne pas à dire : toi tu avais le droit maintenant tu n'as plus le droit. C'est pour cela que la notion de pourcentage est une notion incompatible avec la devise de la France : égalité.

L'état protège aussi la valeur ajoué du travail et de l'innovation par l'obtention d'un diplôme ou d'une qualification reconnue et prioritaire sur le marché.

La justice est enfin au service du citoyen honnète et non pas l'inverse. Elle  doit être impartiale. 

Enfin tout ce qui concerne la recherche en terme de santé est  étatisés afin d'éviter les pouvoirs privés de vie ou de mort sur l'être humain.

Et pour conclure, le plus important et urgent l'état est le garant de l'égalité  dans le travail aussi bien pour l'entreprise que pour le travailleur. Cela passe par l'instauration d'une police de la fraude sociétale dépendante du conseil constitutionnel par exemple, sous toute ses formes.

Enfin que dire des banques ? Rien si ce n'est qu'elles sont les gardiennes de la richesse et les fournisseuses du revenu universel sous contrôles de l'état.  

 

Mesdames et Messieurs les candidats qui battez la campagne n'oubliez pas que la force guette.  Celle ou celui qui n'a pas écrit dans son livre les locutions "Bonheur au travail" et "Revenu universel" doit vérifier que son sabre laser est bien chargé de la force  !

Patricia ne s'arrête plus mais elle n'a pas été exhaustive ! Elle refuse la pensée unique et la ashcognition.

Nous pouvons changer le système sans tout refaire !  Mais attention à la C16 pour ne pas faire n'importe quoi ! 

En 2017 il va falloir que ça change !  Pédagogie. Pédagogie ...

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